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Emission [4.07] – Que change la Peak TV à notre manière de regarder les séries ?
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En août 2015, le président de FX John Landgraf lançait une phrase choc (statistiques à l'appui) : « Il y a trop de télévision. » Plutôt que de se contenter d'abonder ou non dans son sens, nous vous proposons de décrypter ce qui se cache derrière cette affirmation volontiers provocatrice en passant au crible notre propre pratique des séries (de moins en moins) télévisées. Comment leur omniprésence influe-t-elle sur la réception des œuvres ?
Une donnée fournie par le groupe FX Networks suffit à elle seule à résumer la situation : en 2016, la télévision américaine a diffusé pas moins de 455 séries originales, contre 216 en 2010. Cela signifie tout simplement que le nombre d’entrées a plus que doublé en six ans : autant dire que le marché sériel américain est en pleine ébullition. S’en ressentent immanquablement les modes de création, de production et de vente des œuvres, mais aussi la manière dont nous les recevons, les percevons et en débattons. Quelles sont les nouvelles méthodes de sélection et de « consommation » des séries qui découlent de cette profusion ? En quoi celle-ci influe-t-elle sur notre rapport critique à la nouveauté et à la série qui s’achève ? Laisse-t-elle encore une chance d’exister aux séries non américaines ?
Avec Émilie Semiramoth ([Vanity Fair](http://www.vanityfair.fr/culture/series/articles/comment-les-series-redorent-le-blason-des-millennials/50405)) et Marie Turcan ([Business Insider](http://www.businessinsider.fr/author/mturcan)), nous en profitons pour discuter quelques concepts émergents de la presse américaine, comme l’extension de la Peak TV à la saison estivale (ce qu’Oriana Schwindt nomme avec à propos la [« Peak Summer TV »](http://variety.com/2016/tv/news/peak-tv-summer-cable-broadcast-streaming-summer-programming-1201817706)) ou ce qui s’apparente de plus en plus à une « fatalité » de la baisse de forme d’une série (Alan Sepinwall assimile à ce titre le passage accéléré de la lumière à l’ombre de Masters of Sex à un [« contrecoup de la Peak TV »](http://uproxx.com/sepinwall/showtime-cancels-masters-of-sex)). Nous revenons aussi sur de nouveaux usages – ou dérives, selon le point de vue que l’on adopte – qui consistent, par exemple, à zapper les génériques de début et de fin afin de « gagner du temps » ou, à l’inverse, à se laisser porter par une nouveauté du simple fait de la disponibilité immédiate de tous les épisodes de la saison (plus que par véritable engouement personnel).
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Une donnée fournie par le groupe FX Networks suffit à elle seule à résumer la situation : en 2016, la télévision américaine a diffusé pas moins de 455 séries originales, contre 216 en 2010. Cela signifie tout simplement que le nombre d’entrées a plus que doublé en six ans : autant dire que le marché sériel américain est en pleine ébullition. S’en ressentent immanquablement les modes de création, de production et de vente des œuvres, mais aussi la manière dont nous les recevons, les percevons et en débattons. Quelles sont les nouvelles méthodes de sélection et de « consommation » des séries qui découlent de cette profusion ? En quoi celle-ci influe-t-elle sur notre rapport critique à la nouveauté et à la série qui s’achève ? Laisse-t-elle encore une chance d’exister aux séries non américaines ?
Avec Émilie Semiramoth ([Vanity Fair](http://www.vanityfair.fr/culture/series/articles/comment-les-series-redorent-le-blason-des-millennials/50405)) et Marie Turcan ([Business Insider](http://www.businessinsider.fr/author/mturcan)), nous en profitons pour discuter quelques concepts émergents de la presse américaine, comme l’extension de la Peak TV à la saison estivale (ce qu’Oriana Schwindt nomme avec à propos la [« Peak Summer TV »](http://variety.com/2016/tv/news/peak-tv-summer-cable-broadcast-streaming-summer-programming-1201817706)) ou ce qui s’apparente de plus en plus à une « fatalité » de la baisse de forme d’une série (Alan Sepinwall assimile à ce titre le passage accéléré de la lumière à l’ombre de Masters of Sex à un [« contrecoup de la Peak TV »](http://uproxx.com/sepinwall/showtime-cancels-masters-of-sex)). Nous revenons aussi sur de nouveaux usages – ou dérives, selon le point de vue que l’on adopte – qui consistent, par exemple, à zapper les génériques de début et de fin afin de « gagner du temps » ou, à l’inverse, à se laisser porter par une nouveauté du simple fait de la disponibilité immédiate de tous les épisodes de la saison (plus que par véritable engouement personnel).
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Une donnée fournie par le groupe FX Networks suffit à elle seule à résumer la situation : en 2016, la télévision américaine a diffusé pas moins de 455 séries originales, contre 216 en 2010. Cela signifie tout simplement que le nombre d’entrées a plus que doublé en six ans : autant dire que le marché sériel américain est en pleine ébullition. S’en ressentent immanquablement les modes de création, de production et de vente des œuvres, mais aussi la manière dont nous les recevons, les percevons et en débattons. Quelles sont les nouvelles méthodes de sélection et de « consommation » des séries qui découlent de cette profusion ? En quoi celle-ci influe-t-elle sur notre rapport critique à la nouveauté et à la série qui s’achève ? Laisse-t-elle encore une chance d’exister aux séries non américaines ?
Avec Émilie Semiramoth ([Vanity Fair](http://www.vanityfair.fr/culture/series/articles/comment-les-series-redorent-le-blason-des-millennials/50405)) et Marie Turcan ([Business Insider](http://www.businessinsider.fr/author/mturcan)), nous en profitons pour discuter quelques concepts émergents de la presse américaine, comme l’extension de la Peak TV à la saison estivale (ce qu’Oriana Schwindt nomme avec à propos la [« Peak Summer TV »](http://variety.com/2016/tv/news/peak-tv-summer-cable-broadcast-streaming-summer-programming-1201817706)) ou ce qui s’apparente de plus en plus à une « fatalité » de la baisse de forme d’une série (Alan Sepinwall assimile à ce titre le passage accéléré de la lumière à l’ombre de Masters of Sex à un [« contrecoup de la Peak TV »](http://uproxx.com/sepinwall/showtime-cancels-masters-of-sex)). Nous revenons aussi sur de nouveaux usages – ou dérives, selon le point de vue que l’on adopte – qui consistent, par exemple, à zapper les génériques de début et de fin afin de « gagner du temps » ou, à l’inverse, à se laisser porter par une nouveauté du simple fait de la disponibilité immédiate de tous les épisodes de la saison (plus que par véritable engouement personnel).
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Avec Émilie Semiramoth ([Vanity Fair](http://www.vanityfair.fr/culture/series/articles/comment-les-series-redorent-le-blason-des-millennials/50405)) et Marie Turcan ([Business Insider](http://www.businessinsider.fr/author/mturcan)), nous en profitons pour discuter quelques concepts émergents de la presse américaine, comme l’extension de la Peak TV à la saison estivale (ce qu’Oriana Schwindt nomme avec à propos la [« Peak Summer TV »](http://variety.com/2016/tv/news/peak-tv-summer-cable-broadcast-streaming-summer-programming-1201817706)) ou ce qui s’apparente de plus en plus à une « fatalité » de la baisse de forme d’une série (Alan Sepinwall assimile à ce titre le passage accéléré de la lumière à l’ombre de Masters of Sex à un [« contrecoup de la Peak TV »](http://uproxx.com/sepinwall/showtime-cancels-masters-of-sex)). Nous revenons aussi sur de nouveaux usages – ou dérives, selon le point de vue que l’on adopte – qui consistent, par exemple, à zapper les génériques de début et de fin afin de « gagner du temps » ou, à l’inverse, à se laisser porter par une nouveauté du simple fait de la disponibilité immédiate de tous les épisodes de la saison (plus que par véritable engouement personnel).
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